• Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale,

     Comme vous le savez, la part des CCF pour la session 2013 représente près de 90 % de l’évaluation des diplômes de l’enseignement professionnel ; quasiment toutes les disciplines et toutes les formations sont concernées.

    Pour le SNUEP-FSU, cette généralisation des CCF compromet le principe d’égalité entre les élèves.

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  • Les syndicats de la FSU (SNUEP, SNEP et SNETAP) ainsi que la CGT, le SNCL, le SNALC et SUD lancent une pétition contre le tout-CCF.

    Les signataires demandent :

    L’abandon du tout CCF et l’abrogation des décrets de mise en place des CCF en CAP, BEP et Bac Pro .

    L’ouverture immédiate de négociations avec le ministère sur l’évaluation et le mode de certification des CAP, BEP, Bac Pro. 

    Le retour au caractère national des diplômes par une certification comportant essen-tiellement des épreuves terminales ponctuelles, à partir de sujets réalisés avec les corps d’inspection.

    Vous pouvez la télécharger en cliquant sur le lien ci-dessous et la faire signer à vos collègues.

    Télécharger « petition intersyndicale ccf_26 juin 2012.doc »

    signez la pétition en ligne  http://www.stopautoutccf.net/

    Télécharger le communiqué intersyndical :  Télécharger


    Merci pour votre participation!


  • Tambour battant et sans aucun bilan, le ministère Sarkozy a imposé les CCF.

    Merci de prendre quelques minutes pour répondre aux questions en cliquant sur le lien ci dessous :

    Grande enquête 2012 sur le CCF. 

    La réforme du BAC PRO en 3ans a été l’occasion pour le ministère de l’EN de généraliser le Contrôle en Cours de Formation (CCF). La session 2012 du Bac Pro en verra l’application et quasiment toutes les disciplines seront évaluées en CCF. Le SNUEP-FSU a toujours été très critique sur ce mode de certification et a d’ailleurs réaffirmé, lors de son dernier congrès en 2011, de manière très ferme son mandat pour un retour à un examen avec des épreuves ponctuelles terminales. Puisque aucun bilan n’a été organisé par le ministère, le SNUEP-FSU considère qu'il est temps de faire un point sur la mise en place des nouvelles modalités d'évaluation dans la voie professionnelle. C'est pourquoi, il lance sa propre enquête.

     Merci d’avance pour votre contribution à cette action syndicale.

     


  • Le Décret n°2010-1000 du 26 août 2010 institue une indemnité au bénéfice des enseignants chargés de l’évaluation en cours de formation des épreuves de certains diplômes de la voie professionnelle.  

    Pour faire accepter la généralisation des CCF, le ministère a décidé que  la mise en œuvre des CCF devait être prise en compte sous forme d’indemnité à compter de l’année 2010 / 2011.

    Le taux de base sera variable de 83 à 108 € pour l’année 2010/2011 et passerait de 111 à 136 € à partir de l’année suivante.

    Tableau de variation selon l’arrêté du 26 août 2010 fixant le taux de cette indemnité 

    INDEMNITES CCF

    par épreuve ou sous épreuve

    Jusqu’à 15 élèves

    De 16 à 24 élèves

    A partir de 25 élèves

    INDEMNITES 2010/2011

    83 €

    98 €

    108 €

    INDEMNITES 2011/2012

    111 €

    126 €

    136 €

    Les collègues doivent exiger de leurs chefs d’établissements qu’ils mettent en place les outils permettant le paiement effectif de cette prime. En effet c’est bien aux Proviseurs de faire le travail de  recensement !

      

     Le SNUEP-FSU constate de très nombreuses disparités de traitement entre les académies au regard des différentes circulaires rectorales. Le versement de l’indemnité est à la discrétion du chef d’établissement, chargé « d’apprécier l’implication réelle et effective » des enseignants.Le SNUEP-FSU souhaite que les collègues soient traités sur un même pied d’égalité quelle que soit leur affectation sur le territoire national.

     

    Le SNUEP-FSU s’est toujours opposé  au remplacement systématique  des épreuves terminales ponctuelles par des  Contrôles en cours de formation à l’organisation pléthorique,  au contenu et à l’évaluation très locaux. Ceux-ci remettent en cause le caractère national des diplômes et créent des distorsions entre les épreuves, les programmes et les référentiels.





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