• Ensemble : jeunes, travailleur-euses dans ou hors de l'emploi, retraité-es

     

    Le 8 octobre : défendre les emplois, les salaires et la protection sociale !

     

    Dans un contexte où l'emploi et les salaires restent les préoccupations majeures, il est urgent d’exiger une autre politique économique et sociale, et de faire entendre les revendications des salariés et des jeunes dans tout le pays.

     Les mesures en faveur des entreprises, sans contreparties, non seulement n’ont aucun effet sur le taux de chômage mais donnent lieu dans les entreprises à des chantages à l’emploi pour imposer des baisses de salaires et un allongement du temps de travail. Cela nourrit la désespérance sociale sur laquelle prospère l’extrême droite. Le projet de « dégraisser » le code du travail est une menace de plus sur les droits des salarié-es.

     Le gouvernement doit s'engager pour une réelle réforme fiscale, plus juste et plus redistributive permettant ainsi de rompre avec les choix de politiques économiques libérales sources d'inégalités et d'injustices.

     Face à la crise économique et aux mutations à venir, il s'agit de développer les investissements pour réorienter l'activité économique en tenant compte des impératifs écologiques, de conforter et promouvoir les services publics, de soutenir et relancer les secteurs industriels.

     Les mobilisations organisées partout en France le 8 octobre, feront entendre la nécessité de créer les emplois nécessaires dans le privé comme dans le public, d'améliorer le pouvoir d’achat ce qui passe notamment par l’augmentation des salaires et des pensions, de réaliser l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, d’améliorer les conditions de travail, de réduire le temps de travail, de conforter la protection sociale et de protéger socialement les jeunes notamment en leur garantissant un droit à l’autonomie.

     Les organisations CGT, Solidaires, FSU, UNEF et UNL appellent les salarié-es, les chômeurs-euses, les étudiant-es, les lycéen-nes et les retraité-es à se mobiliser le 8 octobre prochain pour une journée interprofessionnelle, avec grèves, manifestations, rassemblements.



  • 8eme jour de grève ce jeudi au LP CONDE de Besançon, et toujours pas de mesure conservatoire pour protéger les personnels et leur permettre de retrouver sereinement le chemin du travail.

    L'action des collègues et l'intervention des syndicats a permis pour l'instant la tenue d'un CHSCT extraordinaire académique dans lequel la FSU  siège et pèsera de tout son poids pour permettre aux personnels du lycée Condé de travailler dans la sérénité et la confiance.

    Signer la pétition pour la protection et la sécurité de l'ensemble des personnels enseignants, agents et administratifs du lycée Condé

    http://www.mesopinions.com/petition/enfants/protection-securite-ensemble-personnels-enseignants-agents/15717

    Par ailleurs, une Caisse de solidarité a été créé pour atténuer les futures retenues salariales des collègues grévistes :
    https://payname.fr/c/yezWW/Soutenez-les-personnels-du-lycee-Conde-en-greve

     


  • Signer la pétition pour la protection et la sécurité de l'ensemble des personnels enseignants, agents et administratifs du lycée Condé

    http://www.mesopinions.com/petition/enfants/protection-securite-ensemble-personnels-enseignants-agents/15717

    Caisse de solidarité a été créé pour atténuer les futures retenues salariales:
    https://payname.fr/c/yezWW/Soutenez-les-personnels-du-lycee-Conde-en-greve 

     

    Télécharger le communiqué de presse du 04 septembre

    Télécharger le tract de la manifestions

    Télécharger le communiqué _FSU_du 3 septembre_


  • Au lycée Condé de Besançon, le mercredi 02 septembre, une enseignante a dû être hospitalisée en urgence suite à une réunion avec le recteur qui a eu lieu le matin même, suite à un mouvement de grève entamé la veille. Ce mouvement avait été décidé en raison d'un climat de souffrance au travail et d'accusations de harcèlement de la part du chef d'établissement. Loin de manifester écoute et compréhension, le recteur a condamné cette « mise en cause publique de l'honneur d'un chef d'établissement », tout comme « l'instrumentalisation » qu'en feraient certains. La demande d'ouverture d'une enquête administrative portée par les personnels a été refusée, ce que l'enseignante concernée par le harcèlement n'a pas supporté.

                 Au regard d’autres cas qui se sont produits dans notre académie, il est préoccupant de constater les « difficultés » qu’ont les services rectoraux à prendre les mesures à même de résoudre les dysfonctionnements graves qui touchent certains établissements. La défiance envers les personnels et les organisations syndicale qui les représentent est l'une des clés d'explication, ces dernières étant systématiquement accusées de mettre de l'huile sur le feu. Les réticences du rectorat à laisser les Comités Hygiène et Sécurité jouer pleinement leur rôle et le dogme de la « solidarité administrative » sont le corollaire de cette défiance et amènent aux impasses que l'on peut constater.

                 La FSU demande que toute la lumière soit faite sur la situation du lycée Condé avec saisine du CHSCTA et interpelle en parallèle le ministère pour que soit diligentée une enquête administrative.

                    Une majorité des personnels enseignants et non enseignants du lycée professionnel Condé de Besançon soutenue par les organisations syndicales SNFOLC25, SNETAA-FO,,CGT EDUC'ACTION, SNUEP-FSU, SNEP-FSU, SUD EDUC est en grève reconductible depuis le mardi 1er septembre.





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